Lyric battle Mystheria vs ->qui se présente ? suis rdy !!

viens nouveau poète
qui n'a jamais mis tes mots contre moi
je n'ai pas peur de toi
et je me la pête!

au premier venu
et à ses mots superflux
j'attend un poème
sans que cela traine

hé ouai je m'ennuie
qu'est ce que j'ai fait aujourd'hui ?
deux exo d'anglais, et un châpitre de chinois
j'ai chanté j'ai écrit, dessiné et conté jusqu'à trois

alé je t'attend prochain ennemi
j'avais dit "stop flood" mais j'en ri
le flood comme mes idées c'est ma vie
alors arette de lire et écrit!

Si déjà je ne t'écrasais,
Avec joie je t'aurais défiée!
Mon âme de gringalet
Ne tremble pas à ta pensée!

quelqu'un d'autre ? ^^

je te rejoins, honorable combattant,
notre lutte te fera perdre tes dents,
mais si motivé, acharné, et marrant tu es,
conversations en pseudo-poèmes mal fait nous pourrons disputer

Par contre, des règles s'il y en a,
les décrire, et les expliquer tu devras.
Euh, ne sachant trop quoi dire,
je te laisse, toi et ta plume .. (heum, ton clavier plutôt)

* pourri au possible, mais bon, ça peut être marrant quand même *

un nouveau floodeur
un nouveau poète
tu ne me fait pas peur
mais je reste honette

tu n'es pas mon ennemie
juste quelqu'un qui me défie
et c'est un honneur pour moi
de t'acceuillir dans ce poste la

tout d'abord je tien a te faire remarquer
que tu as deja commencé a me déstabiliser
en effet je suis une fille!
alors ne me parle pas comme a un garçon, même sans cédille.

présente toi un instant
di moi tu écit beaucoup de poèmes
même si c'est un jeu d'enfant
j'aimerais voir plus loin dans ton coeur blème.

il n'y a pas de règle
si ce n'est parler en rimes
et je te regarde tel un aigle
regarde sa future victime

Excuse-moi de ma méprise !
je pensais m'adresser à berkaïal, quelle bêtise.
apparemment tu es beaucoup plus présente
sur ce forum, dans tous les topics, pas d'attente
( à des heures tout à fait ordinaires d'ailleurs .. ^^)

Des poèmes d'habitude je n'écris point,
mais tout chose d'un début provient.
Sur l'arène de combat je te rejoins,
et, amicalement, je te serre la main.

Par ta comparaison tu croyais me faire peur ?
Sache que des aigles je ne crains rien !
Moi, tel un tigre affamé, je te plains,
petit aigle qui vole haut, mais sans ardeur.

Je m'avance, craintive tout de même,
ne connaissant pas tes tactiques,
et ne sachant pas si on a une apparence physique.
Finalement, d'un bond, je retourne dans mon fauteuil, même
[ si depuis mon ordi, je t'envoie mes pensées sympathiques..

laisse berkaïal il est mort
il a n'a pas compris son sort
mais garde forrestier
c'est une mauvaise idée

je te trouve bien douée
en poésie et poèmes
pour un début voué
a autant de problèmes

j'ai plusieurs formes
car je suis les lettres
qui rendent a vos fenêtres
des peurs sans noms et sans normes

un vent passe
une nouvelle image s'efface
et tout ce qu'il y avais
en un instant disparait

je suis comme figée
mais libre a la fois
j'écrit mon passé
le laissant derière moi

c'est la que le tigre que tu es
affamé et pret
à tout pour se nourrir
se verra dépérir

parce que ce que tu ressens
te fait avancer aveuglément
et voila que tu disparait
dans un déchirement complet

tu t'es enfoncé dans le sable
que j'ai laissé devant toi
tu ressemble alors a une fable
qui te rend piégé et libre à la fois

tes seuls bareaux
ta seule prison
sons tes mots
et tes émotions

je te regarde encore
et dissparait comme la mort
je passe et te dépasse
me posant et regardant ton sort

mais la battaille n'est pas finie
je sais que tu as autant de mots que moi
pour que en ce poème tu décrit
ce qu'il adviendra de toi

"laisse berkaïal il est mort"

Et de un, majuscule,
et de deux, virgule,
et de trois, respect!
Berkaïal est les plus grand,
Mysteria la plus barvarde,
Toi, ma grande, comment
Te mettre contre toi-même en garde?

je n'ai pas besoin
de conseils ou d'attention
pour me prévenir
de ce certain démon
qui reste dans son coin
en moi et me fait mourrir

je conait mes dangers
je conait mes risques
étant deja morte
qui frappera a ma porte
si je suis aimée
il ne fera rien puisque

je l'en aurais défendu
je ne crain pas le pendu
parce que ma vie je l'ai choisie
suite a une histoire muette
qui ne reste que trop honette
pour être décrite ici

j'irais ou bon me semble
et je quitterais qui je veux
au momant ou se rassemblent
tous ces sours et ces aveugles
qui en me voyant tremblent
car ils sont les seuls a comprendre
et a se taire comme des meubles
face au passé de leurs jours tendre

j'ai pas besoin d'aide
pour détruire ma vie
si tu ne comprend pas
retiens qu'elle n'est que folie
qui nous entraine pas a pas
et qui chaques jours devient moins laide

parce que chacunes de nos vies
quittera nôtre corps
pour être pour renaître
mais je ne suis pas d'accord
quitte a vivre et paraître
je ne dirais merci

qu'en la fin de ces jours tristes
qui sont restés silencieux et égoiste
peut être me trouve tu bavarde
mais tu as tors, je suis muette
pas besoin de me mettre en garde
face a vos vies pas vraiment nettes

Alors berkaial si ce nom te plait
a quoi bon raler quand je l'écorchais
quisque plus tard tu sera comme moi
un tas de cendre, un feu de bois

ne t'attache pas à ton nom comme a ta vie
combat autant que tu peux ne reste pas folie
je te fait confience,
je te conait plus que ce que tu ne le pense
car au fond de tes mots
j'ai trouvé tes idéaux


maintenant laisse moi
me battre encore une fois
et si tu veux me défier
il y a un autre post à coté

je ta laisse en prise à Lustucru, rendez-vous à côté..

le tigre affamé que je fus
est repu maintenant
il est midi,
heure du prélude à l'après-midi (d'un faune .. pièce de debussy, tu connais ?)

j'avais imaginé ton attaque,
mais une telle défaite,
une telle arnaque !
non ! ma punition a été bien faite

comme tu l'as dit, mes seuls barreaux
ma seule prison
sont mes mots
et mes émotions

mes mots, je les dompte
ou j'essaie, je me la raconte
mes émotions, elles vont elles viennent
mais leur clef n'est pas mienne

mon aveuglement me submerge
je rame, nage
puis retrouve courage,
me relève et atteinds la berge

dans le doux bruit de la brise
des sons et des vents s'organisent
formant un abri
où je me réfugie

et là tu t'avances
je te crois humiliante
mais tu me souris gentiment
pleine de bons sentiments

de ma prison
je suis sortie
mais avec raison
je la sais pas encore évanouie

autour de moi
le vent se lève
j'ai froid
je crève ..

qu'est donc cette tempete ?
un dieu qui rouspète ?
ou bien est-elle interieurement
la révolte de mes sentiments

heureusement au loin
une musique m'appelle
un son pur et aérien
me tire vers le ciel

j'y arrives, chancelante
reprends mon souffle
afin de te trouver je chante
et enfile mes moufles

la douce brise est revenue
elle m'englobe
mais je te cherche, ou es-tu ?
pour te retrouver je parcourerai le globe ..

je t'ai vu t'en sortir
je suis la je t'admire
pourtant ce froid
nous glasse toi et moi

je sais que tu me cherche
je te regarde encore
j'ésite puis me dépèche
je te considère comme un trésors

je ne veux pas que tu sois mal
j'arive alors pres de toi mais méfiante
tu me regarde craintive mais confiante
et je t'indique une grotte banale

pour nous réfugier un temps
ne nous battons pas
pas maintenant en tout cas
je t'invite a me parler de toi et d'avant

qui es tu ?
que viens tu faire ici ?
et pouquoi es tu apparue
dans ma triste vie ?

qui suis-je ?
des fois je me le demande
pourquoi suis-je ?
une réponse à cette question je quémande

opposée et inverse
de l'euphorie à la déprime
le temps m'apporte et me déverse
pour rester à la surface je trime

je réussis
je souris
mais mon sourire
mon rire
ne sont parfois qu'apparents
je ne suis pas toujours heureuse, je mens

des fois je m'invente
des différences, des attentes,
et sans le faire exprès
me mets un peu de côté

mais mon prénom
signifiant la lumière
ô bonheur, ô joie,
je vis, j'assure mes arrières
me pose, tel un bout de bois
et poussent mes racines, tout le long

se déployant
elles en côtoient beaucoup d'autres
se développant
elles s'accrochent à certaines, se mêlent à d'autres

elles sont bien fleuries
plutôt grandes, agréables
et tout au long de ma vie
elle évoluent, sont maléables

je vis par périodes
des saisons, mes humeurs
qui encore une fois très lunatiques demeurent

moi est un autre
comme dirait l'autre
je ressens de cette phrase la véracité
même si je ne saurais l'expliquer

mon moi, lui,
de composants très variés
il est fait

de sons,
qui s'organisent dans ma tête
qui se bataillent et font la fête
de mots à foison,
qui se traînent, se répètent
et sans arrêt, se font, se défont

de mouvements, de courbes
qui m'emmènent, me portent
et de sentations, parfois fourbes,
qui me mènent et me transportent

où vais-je ?
moi même je n'en sais rien
même si avec courage
je tente d'être maître de mon destin

ainsi je suis spéciale,
me trouve originale
mais finalement tellement banale

sur cette envolée
quelque peu lyrique
tu bailles, mais, bien réveillée,
me dévoiles ta vie atypique

tu te dit originale
j'en suis fière
au fond personne n'est banale
à chacun ses collères
t'es il arrivé
une de ces histoires
que l'on reffuse de racconter
celles des periodes noires
sur les quelles on aurais aimé jetter des pierres

la vie as ses secrets
ses surprises et ses décrets
tu es quelqu'un vivant à cet instant
cet instant deja passé
une vie triste et terminée
pourquoi tu es ?
parce que tu vis
et si tu le reffusais
il n'y aurais qu'ennui

attente de mort incertaine
peur vagabonde et lointaine
si tu n'as pas de projets
tu te lance alors au hazard
qui te dira comment quitter
le chemin de l'espoir
tout ce qui aura été concret
meurt à la bagarre

mais tu es forte
comme chacuns de nous
et tu trouvera
la porte de sortie
vers la vie
vers ceux la
alors ton originalité sera morte
mais tu sera comme "nous"

il n'y a pas de moutons noirs
tout a deja été fait
il n'y a pas de larmes le soir
pour dire que l'on est seul
crier que je monde est laid
nous vivont comme dans une grande école

qui nous apprend a nous tenir droit
parfois rebèles toi et moi
les autres aussi n'ont pas voulu
pourtant un jour ou l'autre ils se sont rendu
on nous a dit de se plier face à la vie
l'homme est biologiquement droit mais assoupi

car c'est dans un état d'iversse
qu'on perd le sens du futur
et si la vie était moins dure
tu sais que tous nous délaisse
quand le temps nous a quitté
quand l'envie est passée

et il faut continuer
encore et toujours
ce même parcours
chaques jours
ne pas être rongé d'amour
mais aimer pour toujours

sans pleurer une rupture
car tout a son sens
comme nos poèmes parfois durs
qui gardent leur prôpre romance
je t'invitte à me conaître
pour qu'apres la bataille une amitiée se vois naître

Pourquoi je suis,
pourquoi je vis ?
ces questions sans réponses
elles m'agrippent tel des ronces

je me dis, si je n'étais pas
je (ne) serais rien
mais je n'en aurais même pas conscience
puiqu'un "rien" ne pense pas
je ne connaîtrais pas cette vie parfois rance
mais qui apporte tellement de plaisirs au quotidien

l'existence incertaine d'une inexistance
me tracasse
une telle absence
me paraît coquace.

Des périodes noires
j'en ai eu
des jours où tout est amer
je les ai vécus

quand on en sort
on veut les oublier
leur jeter un sort
et tenter de les effacer

quand on en sort c'est une surprise
un élan de joie
un élan de vie
alors on se relève, plus ou moins bien des fois
mais on s'agrippe, on prend appui
et notre chagrin peu à peu tombe dans l'oubli

J'ai des projets
même si incertaine reste leur précision
leur direction est toute tracée

les dés sont jetés
même si au hasard je n'ai pas laissé
le soin de les projeter

mes projets sont encore loin
tout au bout d'une longue route
juchée d'embûches, qui me déroute
mais qui mène à mes rêves, à mon destin

pour l'instant j'y piétine
j'avance peu à peu
je fais de mon mieux
pour accélérer il faudrait défaire des noeuds

mais aujourd'hui, près de moi, dérobée
se cache la porte de sortie
dont tu m'as parlé
dis-m'en plus, explique ta pensée
c'est peut-être le raccourci
que j'ai tant de fois cherché

issue salutaire
bénéfique et nécessaire
qui me donnera le panache
de chaque jour accomplir les mêmes taches

cette porte ne cassera pas mon originalité
non, je sais que son passage
me permettra de m'affirmer, de m'assumer
je ne deviendrai pas plus sage

ni identique à "vous"
non, vous et nous,
chacun est unique, pas banal
nos vies ne sont pas horizontales

ainsi je n'aurai plus peur
des moutons noirs
des tristes soirs
et je retrouverai mon ardeur

tel un enfant
qui, inconsciemment
se réjouit de tout
n'éprouve pas de dégoût

car maintenant je me rends compte
qu'à l'adolescence,
on cherche, on pense
on pleure, on a honte

finalement des soucis bien inutiles
nous font oaujourd'hui déprimer
tandis qu'un peu plus tôt, ou dans quelques années
tout cela nous paraîtra bien futile

Tu m'offres ton amitié après la bataille
je t'en remercie, et soulève juste un détail
cette bataille qui pour moi n'en est pas une :
nous avons commencé rivales
et faisons maintenant cause commune

il s'agit plutôt d'une découverte, d'une rencontre
et d''échanges
de la plus belle forme qui soit
mon intérieur, mes fondations je te montre
ma vision de la vie j'organise, je trie, je range
et j'espère que tu me parleras un peu de toi

就爱帕斯蒂南宋譬如阿嚏噢年
阿咯人所敬爱平日三的锷刺死噢年
的特发咯噢的恩吃年哦
莫金额他揉擦波
怕他？

Sans aucun doute, c'est la vérité même.

moi je trouve que ca sonne bien

effectivement, ça me parle, ça me touche beaucoup, merci pour tes mots

Je suis pas d'accord !

Luce, veux tu revenir près de moi
Pour qu'on s'écoute comme autre fois
Je reviens, après quelques silences
Restez-en certains perdu dans vos sciences

Que j'ai encore changé,
Je me suis encore caché,
Un nouveau visage,
Une nouvelle image.

Je ne fais pas ca contre vous
Mais pour comprendre ce qu'il c'est passé
Je veux rentenir la vie qui est en vous
Où retracer l'endrois où elle est allée.

Je me réengage dans la bataille
Quelque peu moins présente qu'autre-fois
Bien que sans sourire pour nos retrouvailles
Je suis toujours bel et bien là.

C'est qui ça luce ?

Lustucru.

Effectivement, "ça" c'est moi,
et je suis contente
d'enfin te retrouver mysthéria

moi aussi j'ai changé
vécu des expériences nouvelles
après ce voyage qui m'a bien dépaysée
j'ai passé une journée
de rêve, avec mon Emmanuel (c'est son vrai prénom, pas que pour la rime)

comme on dit,
il y a des première fois à tout ..
c'était magique, mais après tout
je ne sais pas quand je le reverai, pardi !

tu connais ça aussi malheureusement,
toi aussi ton "lui"
loin de toi vit
et son absence qui pèse terriblement

l'ambiance du forum a elle aussi changé
une personne, nommé comme moi au masculin
m'énerve, et casse un peu de ce forum l'attrait

je suis heureuse qu'on s'écoute à nouveau
et si je me souviens bien, nous en étions
au racontage de ta vie, de ton petit bateau
qui navigue au fil de l'eau, ou vole tel un avion

Tes mots sont très beaux Luce
Et je ne laisserais pas Luc te faire du mal
Il est très bizard mais sans plus
Au fond, il est peut être quelqu'un de banale

Je suis si heureuse pour toi
Qui a vu l'amour en toi
Tout comme toi, mais sans voyages
J'ai appercu de nouveaux paysages

Tu le reverra j'en suis sure
Et même si mes mots rassurent
Je suis toute avec toi
Pour que cela dure plus que des mois

Oui je conaît ca
J'ai du m'y habituer
Même si reste l'anxiétée
De ne plus se reconaître apres tous ces mois

Ma vie, petit bateau, comme tu dis
N'est plus qu'un radeau avec lequel j'ai fuis
Quand le navire est sur le point de sombrer
Et qu'aun dernier instant tu décide de ne pas y rester

Ho! mon histoire est bien compliquée
Et tellement banale derrière son étrangetée
Je découvre encore avec une triste pensée
Que toutes les dates, les sentiments l'histoire est répétée

Je vis avec un autre
Ce que j'ai vécu il y a un an
Je la sais tres bien pourtant
La raison pour laquelle mon destin joue avec mes fautes

Le présent n'est il pas conséquences du passé ?
J'essaye maintenant de sortir du tourbillon
Dans lequel je m'entraine tel un amour empressé
Qui ne conaît quel démon

Se cachera là en temps voulu
J'y ai tellement cru
Je sais ce qu'il ne faut pas que je fasse
C'est de n'avoir jamais pris le bon chemin qui me tracasse

Mon coeur réfléchi, essaye d'être clair
Si cette voir je ne la fuis, je conaîtrais la colère
Pourtant pour l'instant la mer est endormie
Et l'amour me rapporte en ce bonheur infini

C'est juste une conscience
Qui me pousse à l'esperance
Un souvenir du passé
Qui me donne des tristes pensées

Je conaît le terrain
Je sais quand je devrais me battre
Mais rien n'est certain
Je sais mon point faible, et je suis façile a abatre

Quand on me rapelle
Ce passé éternel
Qui tombe comme une feuille morte
Qui aujourd'hui, une nouvelle fois, frappe à ma porte.